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Le parcours d’art de Shopping Promenade


Premier centre de shopping à ciel ouvert en France, Shopping Promenade est un lieu de vie alliant commerces, espaces de détente et de loisirs. Shopping Promenade s’affirme également comme un lieu de culture, inscrivant l’at contemporain au cœur de ses espaces.

Jérôme Sans, directeur artistique, a été invité à imaginer le projet « Format Paysage », en inscrivant les œuvres de onze artistes de façon permanente dans le site comme autant de points d’orgue ou d’événements qui transposent le quotidien des lieux en d’autres réalités inspirantes. Un panorama ambitieux et intergénérationnel de la création contemporaine, à l’échelle locale, nationale et internationale.

« Format Paysage » est la première phase de ce projet, comme le début d’une histoire à suivre régulièrement.

L’art contemporain à ciel ouvert

Art Riviera #1 - De l'Ecole de Nice à l'Ecole de la Riviera

Du 14 mai au 14 novembre, l’exposition « Art Riviera #1 – De l’école de Nice à l’école de la Riviera » s’installe dans les allées de Shopping Promenade. Au programme de ce nouveau rendez-vous artistique, de nombreux temps forts culturels et ludiques articulés autour d’un parcours de 14 sculptures grands formats de 9 artistes locaux (Arman, Bosio, Cipre, Conforti, Moustache Bleue, Nys, Sosno, Stratos et Tobiasse), de conférences éclairées chaque mois et d’ateliers pour enfants aux thématiques les plus étonnantes les unes que les autres.

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Airplines Propellers

ARMAN
Né le 17 novembre 1928 en France. Décédé le 22 octobre 2005 à New York. Peintre et sculpteur américain né en France. L'artiste

Arman a été reconnu internationalement comme un contributeur majeur à l'art de la fin du XXe siècle et un protagoniste principal de l'école française du "Nouveau Réalisme", qui était parallèle au mouvement Pop Art américain aux États-Unis dans les années 1960. Ses "Accumulations", qui utilisent des objets quotidiens comme sujets, sont au cœur de sa déclaration artistique. L'œuvre d'Arman est représentée dans les principaux musées et les grandes collections publiques du monde entier. Ces musées comprennent le "Museum of Modern Art", le "Metropolitan Museum of Art" et le "Solomon R. Guggenheim", à New York ; les musées d'art de l'université de Harvard ; le "Hirshhorn Museum and Sculpture Garden", à Washington, DC ; le musée Georges Pompidou, à Paris, en France ; le Musée d'Art Moderne et d'Art Contemporain à Nice, en France ; le musée de Tel-Aviv, en Israël ; le musée Picasso à Antibes, en France ; la "Tate Gallery", à Londres ; le musée des beaux-arts de Seibu, le musée Hara à Tokyo, au Japon, et le musée en plein air de Haknoe, au Japon.

Tout au long de sa carrière, Arman a reçu les plus grandes distinctions artistiques telles que le Grand Prix Marzotto, le Commandeur des Arts et Lettres, l'Officier de l'Ordre National du Mérite et le Grand Officier de la Légion d'Honneur. Il a fait l'objet d'une monographie récemment publiée par Germano Celant, historien de l'art et conservateur italien de renom.
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Grand Nebari rouge

Laurent BOSIO
Laurent BOSIO, né en 1964 à Nice, y vit et y travaille depuis toujours.

En 1981, il intègre les cours de la Villa Thiole à Nice (Ecole Municipale d’Arts Plastiques). La découverte et la pratique de l’académisme à travers les œuvres des plus grands peintres de la Renaissance italienne lui font comprendre que sa voie ne sera pas forcément celle du conceptuel. La villa Arson à Nice (Centre d’Art Contemporain) où il étudie par la suite le confirme ainsi que ses premières expositions.

A Villefranche sur Mer en 1990, à la Chapelle Cocteau, il est sollicité pour exposer au Grand Palais à Paris, au Salon de Mai, puis proposé pour la Villa Médicis à Rome, où il ne pourra se rendre. Mme Riva Ferrarese fait appel à lui pour exposer d’abord à Lovere en 2000 puis à Venise en 2001 en parallèle de la biennale. Suivra une sculpture pour le nouveau Yacht Club de Monaco ainsi qu’une amicale coopération cinq années durant.

En 2014, Laurent BOSIO gagne le premier prix de sculpture dans le cadre du concours Gemlucart à Monaco avec à la clé une exposition dans la galerie des Beddington à Bargemon (Var).

Ses œuvres prennent la route pour Hambourg avec toujours le même accueil enthousiaste.

Son travail acharné, quotidien et viscéralement indispensable du dessin font de lui un artiste complet. Le croquis est la fondation de ses sculptures. En peinture, sa force sera la maitrise totale de toutes les techniques : pastel, acrylique, peinture à l’huile, aquarelle, mine de plomb. Les sujets sont d’abord variés, axés sur le sport : la tauromachie, la boxe, la Formule 1. Beaucoup plus tard, et encore aujourd’hui, le travail aux feutres (Posca et Molotow) lui permettra une exécution rapide, puissante.

Son œil observateur est intrigué par l’olivier et ses racines, qu’il découvre à la Villa Renoir à Cagnes sur Mer et aux Arènes de Cimiez à Nice.

Et l’aventure bonsaï démarre, qui avait déjà débuté par la passion de son père pour la culture du « vrai » bonsaï !
Son étude très poussée des entrelacs des racines le propulse d’abord dans le monde imaginaire des animaux fantastiques. Son approche est joyeuse, ludique, au regard curieux et interrogateur ... celui de Laurent dans la vie.

Depuis plus de 20 ans, Laurent BOSIO revisite la nature, ferrailleuse certes, mais ô combien vivante et majestueuse. Son inspiration est insatiable tant le végétal et le minéral le fascinent, le transportent. La moindre pierre atypique ramassée le conduit sur des routes où lui seul est capable de cheminer.... Dessins, croquis, toiles se bousculent.
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Hockidochi

Laurent BOSIO
Laurent BOSIO, né en 1964 à Nice, y vit et y travaille depuis toujours.

En 1981, il intègre les cours de la Villa Thiole à Nice (Ecole Municipale d’Arts Plastiques). La découverte et la pratique de l’académisme à travers les œuvres des plus grands peintres de la Renaissance italienne lui font comprendre que sa voie ne sera pas forcément celle du conceptuel. La villa Arson à Nice (Centre d’Art Contemporain) où il étudie par la suite le confirme ainsi que ses premières expositions.

A Villefranche sur Mer en 1990, à la Chapelle Cocteau, il est sollicité pour exposer au Grand Palais à Paris, au Salon de Mai, puis proposé pour la Villa Médicis à Rome, où il ne pourra se rendre. Mme Riva Ferrarese fait appel à lui pour exposer d’abord à Lovere en 2000 puis à Venise en 2001 en parallèle de la biennale. Suivra une sculpture pour le nouveau Yacht Club de Monaco ainsi qu’une amicale coopération cinq années durant.

En 2014, Laurent BOSIO gagne le premier prix de sculpture dans le cadre du concours Gemlucart à Monaco avec à la clé une exposition dans la galerie des Beddington à Bargemon (Var).

Ses œuvres prennent la route pour Hambourg avec toujours le même accueil enthousiaste.

Son travail acharné, quotidien et viscéralement indispensable du dessin font de lui un artiste complet. Le croquis est la fondation de ses sculptures. En peinture, sa force sera la maitrise totale de toutes les techniques : pastel, acrylique, peinture à l’huile, aquarelle, mine de plomb. Les sujets sont d’abord variés, axés sur le sport : la tauromachie, la boxe, la Formule 1. Beaucoup plus tard, et encore aujourd’hui, le travail aux feutres (Posca et Molotow) lui permettra une exécution rapide, puissante.

Son œil observateur est intrigué par l’olivier et ses racines, qu’il découvre à la Villa Renoir à Cagnes sur Mer et aux Arènes de Cimiez à Nice.

Et l’aventure bonsaï démarre, qui avait déjà débuté par la passion de son père pour la culture du « vrai » bonsaï !
Son étude très poussée des entrelacs des racines le propulse d’abord dans le monde imaginaire des animaux fantastiques. Son approche est joyeuse, ludique, au regard curieux et interrogateur ... celui de Laurent dans la vie.

Depuis plus de 20 ans, Laurent BOSIO revisite la nature, ferrailleuse certes, mais ô combien vivante et majestueuse. Son inspiration est insatiable tant le végétal et le minéral le fascinent, le transportent. La moindre pierre atypique ramassée le conduit sur des routes où lui seul est capable de cheminer.... Dessins, croquis, toiles se bousculent.
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Dog

Stéphane CIPRE
Stéphane Cipre est un artiste singulier dont la vie est marquée par une passion inébranlable pour la création.
Né en 1968 à Paris de famille niçoise, il se forme comme modéliste avec son père au sein de l’entreprise familiale.

Se sentant limité dans sa création personnelle, il se trouve une véritable passion pour l’art, et commence à étudier à la Villa Thiol et l’Ecole du Louvre en cours du soir. Naturellement, comme une révélation, l’art devient un moyen profond et sensible d’expression pour Stéphane Cipre. Extrêmement créatif, Stéphane exprime ses difficultés personnelles, enfant comme adulte, à travers une production artistique à la fois sincère et poétique.

Ses analyses sensibles de la société permettent au public de se placer au coeur des enjeux de l’art contemporain, et transforment Stéphane en un philosophe par l’image. Chaque oeuvre nous raconte une histoire, allant de la déception aux bancs de l’école à la constatation d’une mondialisation et d’une mass-culture qui divise nos sociétés. Le travail de Cipre fige des interrogations philosophiques et inscrit sur des images nos existences.

Son travail pointilleux et pluridisciplinaire, issu de sa formation initiale, lui donne une créativité sans limite et en fait un artiste unique. Ses oeuvres sont des révélations, ou les mots et leurs sens ne forment plus qu’un par l’image. Stéphane module ces trois éléments pour les rendre indissociables, et concocte une véritable réponse à ce qu’il appelle “l’art-marchandise”. Ce qui par nature est immatériel et donc inestimable, devient entre les mains de l’artiste, valorisée tel un produit de consommation ordinaire !

Ainsi, qu’elles soient sanglées, comprimées, séquencées ou sur des palettes de transport, ses lettres ART et LOVE tordent à la perfection la réalité fracassante de l’art dans laquelle tout devient commerce. Véritable outsider de sa génération, Stéphane Cipre ne cesse de renouveler son travail pour attirer le regard sur les problèmes de société tout en mettant en valeur la passion des belles choses.

Une ascension créative, une expression libre.
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Who ?

Bernard CONFORTI
Né en 1977, joaillier de formation et fondeur de talent, ses influences sont un savoureux mélange entre ses nombreuses bandes dessinées qui ont marqué son imaginaire et le travail de François Pompon dont Bernard est un peu la version pop ! C’est donc au travers de l’humour que le travail très sérieux de Bernard Conforti se positionne.

Son bestiaire animalier est composé de Pingouins, d’Éléphants, de Scarabées sacrés, de Lézards.

De cette faune colorée émane un parfum d’enfance, un regard tendre sur nos jeunes années. Le monde du rêve est tout proche.
Bernard Conforti sait cristalliser un instant, une vibration, il capte l’attitude, insère l’humour, le sourire omniprésent dont son œuvre est pétrie.

La posture du pingouin répondant à son congénère émergé ou l’éléphant à l’arrêt en train de pointer un hypothétique trophée de chasse confère à l’œuvre de Bernard Conforti un atout particulier, signature unique.

C’est la captation d’un moment.
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Grand chien rouge

Moustache Bleue
Peintre et sculpteur niçois né en 1952.

Quand on lui demande à quel courant artistique se réfèrent ses toiles et ses sculptures ou s’envolent les personnages de son univers, Olivier Derveloy, alias Moustache Bleue répond par une pirouette : "au mouvement E.D.V. (Envie De Vivre)".
Plus sérieusement, l’artiste diplômé d’architecture tombé dans un pot de peinture il y a une trentaine d’années pour ne plus en ressortir s’explique :
"Ce qui m’intéresse, c’est de représenter le monde dans lequel je vis, de l'amour, de l'amitié, du partage, des enfants et de bien d'autres sujets qui nous concernent tous. J'aime apporter de la joie, avoir de l’humour, peindre tous les jours pour dire que rien ne vaut la vie, chaque seconde de notre vie".

On se promène avec délectation dans des toiles exubérantes ou des personnages mi-homme, mi-animal volent comme chez Chagall, on découvre des sculptures à la tête jaune ou bleue, avec trois yeux et le contour affirmé d’un Fernand Léger, autant de références que l’artiste, qui rêve de retrouver son âme d’enfant, aime nous faire partager.
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Cartus

Hervé NYS
Né à Cagnes-sur-Mer en 1960. De parents agriculteurs, il apprend très vite que la terre est basse. Son goût pour la mécanique lui permet de réparer le matériel pour alléger la peine.

En 1980, le service militaire étant obligatoire, il préfère s’engager dans l’Aéronavale pour poursuivre ses études en mécanique. Il répare les Super-Etendard, Fouga Magister à Salon de Provence. C’est aussi la naissance de sa passion pour la custom culture.
En 1987, il quitte l’armée, se mari et devient machiniste dans la maroquinerie familiale. Il travaille sur des presses de découpe et d’impression. Il entre ainsi en contact avec la mode en créant des motifs tendance suivant les saisons et réalise les nouvelles matrices d’impression. Après son divorce, il repart à zéro et retourne à sa première passion en rachetant et modifiant quelques voitures et motos. Il retrouve un travail en 1994 et devient ciseleur dans une Fonderie d’art à cire perdue, découvre alors un univers totalement inconnu du grand public. Il travaille en étroite collaboration avec des artistes de renommée internationale (Kees Verkade, Franta, Hans Hedberg, Nicolas Lavarenne, Miki Toshiharu, Marion Burkle, Cyril de la Patellière, ...). Durant 10 ans il va s’enrichir de toutes ces créations d’artistes et acquiert ainsi la maîtrise du moulage, de la fonte, de la ciselure et de la patine.

En 2003, il quitte la fonderie pour devenir l’assistant de Sacha Sosno (artiste de l’Ecole de Nice) jusqu’à ce qu’il nous quitte en 2013. Il développe en parallèle son propre art basé sur ses premières passions la mécanique et la nature en les utilisant comme support.
Il sculpte avec humour notre mémoire collective et nous rappelle que l’homme veut tout dompter, dominer, aller plus vite, plus haut, plus loin ... Son parcours fait naître dans le milieu artistique des sculptures inédites dans l’art contemporain.
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Contemplateur

Hervé NYS
Né à Cagnes-sur-Mer en 1960. De parents agriculteurs, il apprend très vite que la terre est basse. Son goût pour la mécanique lui permet de réparer le matériel pour alléger la peine.

En 1980, le service militaire étant obligatoire, il préfère s’engager dans l’Aéronavale pour poursuivre ses études en mécanique. Il répare les Super-Etendard, Fouga Magister à Salon de Provence. C’est aussi la naissance de sa passion pour la custom culture.
En 1987, il quitte l’armée, se mari et devient machiniste dans la maroquinerie familiale. Il travaille sur des presses de découpe et d’impression. Il entre ainsi en contact avec la mode en créant des motifs tendance suivant les saisons et réalise les nouvelles matrices d’impression. Après son divorce, il repart à zéro et retourne à sa première passion en rachetant et modifiant quelques voitures et motos. Il retrouve un travail en 1994 et devient ciseleur dans une Fonderie d’art à cire perdue, découvre alors un univers totalement inconnu du grand public. Il travaille en étroite collaboration avec des artistes de renommée internationale (Kees Verkade, Franta, Hans Hedberg, Nicolas Lavarenne, Miki Toshiharu, Marion Burkle, Cyril de la Patellière, ...). Durant 10 ans il va s’enrichir de toutes ces créations d’artistes et acquiert ainsi la maîtrise du moulage, de la fonte, de la ciselure et de la patine.

En 2003, il quitte la fonderie pour devenir l’assistant de Sacha Sosno (artiste de l’Ecole de Nice) jusqu’à ce qu’il nous quitte en 2013. Il développe en parallèle son propre art basé sur ses premières passions la mécanique et la nature en les utilisant comme support.
Il sculpte avec humour notre mémoire collective et nous rappelle que l’homme veut tout dompter, dominer, aller plus vite, plus haut, plus loin ... Son parcours fait naître dans le milieu artistique des sculptures inédites dans l’art contemporain.
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Le cercle des pilotes

Hervé NYS
Né à Cagnes-sur-Mer en 1960. De parents agriculteurs, il apprend très vite que la terre est basse. Son goût pour la mécanique lui permet de réparer le matériel pour alléger la peine.

En 1980, le service militaire étant obligatoire, il préfère s’engager dans l’Aéronavale pour poursuivre ses études en mécanique. Il répare les Super-Etendard, Fouga Magister à Salon de Provence. C’est aussi la naissance de sa passion pour la custom culture.
En 1987, il quitte l’armée, se mari et devient machiniste dans la maroquinerie familiale. Il travaille sur des presses de découpe et d’impression. Il entre ainsi en contact avec la mode en créant des motifs tendance suivant les saisons et réalise les nouvelles matrices d’impression. Après son divorce, il repart à zéro et retourne à sa première passion en rachetant et modifiant quelques voitures et motos. Il retrouve un travail en 1994 et devient ciseleur dans une Fonderie d’art à cire perdue, découvre alors un univers totalement inconnu du grand public. Il travaille en étroite collaboration avec des artistes de renommée internationale (Kees Verkade, Franta, Hans Hedberg, Nicolas Lavarenne, Miki Toshiharu, Marion Burkle, Cyril de la Patellière, ...). Durant 10 ans il va s’enrichir de toutes ces créations d’artistes et acquiert ainsi la maîtrise du moulage, de la fonte, de la ciselure et de la patine.

En 2003, il quitte la fonderie pour devenir l’assistant de Sacha Sosno (artiste de l’Ecole de Nice) jusqu’à ce qu’il nous quitte en 2013. Il développe en parallèle son propre art basé sur ses premières passions la mécanique et la nature en les utilisant comme support.
Il sculpte avec humour notre mémoire collective et nous rappelle que l’homme veut tout dompter, dominer, aller plus vite, plus haut, plus loin ... Son parcours fait naître dans le milieu artistique des sculptures inédites dans l’art contemporain.
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Le galet de Nys

Hervé NYS
Né à Cagnes-sur-Mer en 1960. De parents agriculteurs, il apprend très vite que la terre est basse. Son goût pour la mécanique lui permet de réparer le matériel pour alléger la peine.

En 1980, le service militaire étant obligatoire, il préfère s’engager dans l’Aéronavale pour poursuivre ses études en mécanique. Il répare les Super-Etendard, Fouga Magister à Salon de Provence. C’est aussi la naissance de sa passion pour la custom culture.
En 1987, il quitte l’armée, se mari et devient machiniste dans la maroquinerie familiale. Il travaille sur des presses de découpe et d’impression. Il entre ainsi en contact avec la mode en créant des motifs tendance suivant les saisons et réalise les nouvelles matrices d’impression. Après son divorce, il repart à zéro et retourne à sa première passion en rachetant et modifiant quelques voitures et motos. Il retrouve un travail en 1994 et devient ciseleur dans une Fonderie d’art à cire perdue, découvre alors un univers totalement inconnu du grand public. Il travaille en étroite collaboration avec des artistes de renommée internationale (Kees Verkade, Franta, Hans Hedberg, Nicolas Lavarenne, Miki Toshiharu, Marion Burkle, Cyril de la Patellière, ...). Durant 10 ans il va s’enrichir de toutes ces créations d’artistes et acquiert ainsi la maîtrise du moulage, de la fonte, de la ciselure et de la patine.

En 2003, il quitte la fonderie pour devenir l’assistant de Sacha Sosno (artiste de l’Ecole de Nice) jusqu’à ce qu’il nous quitte en 2013. Il développe en parallèle son propre art basé sur ses premières passions la mécanique et la nature en les utilisant comme support.
Il sculpte avec humour notre mémoire collective et nous rappelle que l’homme veut tout dompter, dominer, aller plus vite, plus haut, plus loin ... Son parcours fait naître dans le milieu artistique des sculptures inédites dans l’art contemporain.
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Birdie

Sacha SOSNO
Né en 1937 à Marseille, a vécu et travaillé à Nice, Paris et New York.

Sosno pratique l’oblitération. Il masque par des vides ou des pleins une partie d’images ou d’objets. Ce jeu de "cache-cache" permet à l’imaginaire d’interpréter son intervention sur des archétypes, des formes de notre inconscient collectif (fragments d’antiques par exemple). Notre mémoire devient un paysage mental ; le spectateur est obligé de recréer ce qui manque, il doit participer à l’acte créatif.

Sosno aime jeter un pont entre la sculpture et l’architecture.
Son premier geste fut l’hôtel Elysée Palace, hauteur 26 mètres où une Vénus de bronze est insérée entre deux blocs de granit sur la façade du bâtiment.

En 2002, la Tête Carrée, hauteur : 28 mètres, commande du Ministère de la Culture, est le phare de la Bibliothèque Régionale à Nice. C’est la première sculpture habitée et probablement le premier bâtiment entièrement en aluminium.

En 2006, Sosno a installé une sculpture monumentale en chine dans le nouveau quartier CBD, au centre de pékin, un cheval Yuan en acier (10 mètres x 6 mètres). Depuis, de nombreuses sculptures extérieures ont été érigées en France.

2015, deuxième Sculpture Habitée, Le Guetteur, au Shopping Promenade de Cagnes-sur-Mer – Aluminium + verre hauteur 22 mètres. Elle a été exécutée par la Fonderia Artistica de Carli à Volvero près du Turin, sous la direction de Manlio Bonetto ; une année de travail, en association avec l’Atelier Sosno. Malheureusement comme il nous a quitté en 2013 il n’aura pas eu la chance de voir la finalité de son projet !
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Le bisou

Charles STRATOS
C'est en 1953 que Stratos voit le jour en Avignon, dans cette France choisie par son grand-père, Grec d'origine, tailleur de profession.
Dès l'âge de 14 ans Stratos côtoie le monde artistique au sein d'un cabinet d'architecture, discipline à laquelle il se forme. Il va prendre alors conscience de l'esthétisme du beau de la ligne et ainsi va se développer en lui cette fibre créatrice qui ne le quittera plus jamais.

C'est ainsi que va naître le créateur de forme, l'assembleur de personnages jaillissant de son pinceau, avec ce rouge éclatant, ce jaune lumineux, ce bleu si profond et ces noirs qui vont cerner toutes ses silhouettes mère-enfant, couples, musiciens... autant de sources de vie, de cette vie si précieuse à partager, voilà le message altruiste de l'artiste qui va tout donner.

L'itinéraire va déboucher sur les sculptures, qui vont succéder aux peintures et venir se dresser dans son univers, monumentales et lisses, métalliques et caressantes, silhouettes enchevétrées qui se frôlent, se touchent, musiciens au violoncelle que l'on écoute, que l'on entend et ces couples imbriqués, enlaçés avec leur tête intimement liée qui nous donnent à penser, à rêver, on écoute leur silence.

C'est Stratos qui s'envole, tenons lui bien fort la main, envolons-nous avec lui dans ce monde féerique de l'enfance, profitons de ce moment donné par l'artiste pour se plonger un instant dans ce monde de la quiétude sereine dans l'univers onirique de cette enfance qu'il nous faudra un jour quitter.

Puissions-nous la conserver, lui faire place dans notre coeur c'est cela le miracle de Stratos, avec son univers de ciel étoilé multicolore et flamboyant avec tous ses personnages qui nous tendent leurs mains et puis ces ombres métalliques qui montent vers les nuages et nous enroulent délicatement... il se dégage de tout cela comme un parfum jubilatoire qui va nous rendre heureux, vraiment heureux.
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Saltimbanques

Théo TOBIASSE
Théo Tobiasse est né en 1927 à Jaffa en Palestine et décédé et 2012 à Cagnes-sur-mer.

Après être reparti quelques temps en Lituanie, il arrive, enfant, avec sa famille, à Paris en 1931. La mort de sa mère, la seconde guerre mondiale avec le port de l’étoile jaune, le refus à l’Ecole Supérieure des Arts Décoratifs en raison de ses origines et l’obligation de se cacher dans un appartement parisien pendant deux ans bouleverseront sa vie. Il se tournera dans un premier temps vers le dessin publicitaire et deviendra un concepteur à succès. Mais sa passion de la peinture reprendra le dessus. Ses premières toiles sont exposées au Salon des peintres du Sud-Est en 1960.

Il remporte alors en 1961 le prix de la “jeune peinture méditerranéenne”. Théo Tobiasse obtient également le Prix Dorothy-Gould en 1961. Il décide alors de se consacrer uniquement aux arts plastiques. De nombreuses expositions lui sont dédiées dans le monde entier, à Paris, à Genève, Montréal, Tokyo, Londres, Zurich, Lauzanne, Los Angeles, Kiev, New York, Prague... Théo Tobiasse développe, dans un style à la fois surréaliste, expressionniste et un peu primitif, une iconographie personnelle tirée de ses propres souvenirs de son enfance en Lituanie, des errances d’une famille qui cherche une terre d’asile et de la Shoah.

Puis, de ses nombreux voyages, il s’imprègnera des nouvelles cultures qu’il rencontre, le jazz de la Nouvelle-Orléans, les sites archéologiques mexicains, les totems amérindiens. Il est reconnu internationalement, et ses œuvres sont présentes dans de nombreuses collections privées, des entreprises et des musées à travers le monde.
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Peace & camouflage

Stéphane CIPRE
Stéphane Cipre est un artiste singulier dont la vie est marquée par une passion inébranlable pour la création. Né en 1968 à Paris de famille niçoise, il se forme comme modéliste avec son père au sein de l’entreprise familiale.

Se sentant limité dans sa création personnelle, il se trouve une véritable passion pour l’art, et commence à étudier à la Villa Thiol et l’Ecole du Louvre en cours du soir. Naturellement, comme une révélation, l’art devient un moyen profond et sensible d’expression pour Stéphane Cipre. Extrêmement créatif, Stéphane exprime ses difficultés personnelles, enfant comme adulte, à travers une production artistique à la fois sincère et poétique.

Ses analyses sensibles de la société permettent au public de se placer au coeur des enjeux de l’art contemporain, et transforment Stéphane en un philosophe par l’image. Chaque oeuvre nous raconte une histoire, allant de la déception aux bancs de l’école à la constatation d’une mondialisation et d’une mass-culture qui divise nos sociétés. Le travail de Cipre fige des interrogations philosophiques et inscrit sur des images nos existences.

Son travail pointilleux et pluridisciplinaire, issu de sa formation initiale, lui donne une créativité sans limite et en fait un artiste unique. Ses oeuvres sont des révélations, ou les mots et leurs sens ne forment plus qu’un par l’image. Stéphane module ces trois éléments pour les rendre indissociables, et concocte une véritable réponse à ce qu’il appelle “l’art-marchandise”. Ce qui par nature est immatériel et donc inestimable, devient entre les mains de l’artiste, valorisée tel un produit de consommation ordinaire !

Ainsi, qu’elles soient sanglées, comprimées, séquencées ou sur des palettes de transport, ses lettres ART et LOVE tordent à la perfection la réalité fracassante de l’art dans laquelle tout devient commerce. Véritable outsider de sa génération, Stéphane Cipre ne cesse de renouveler son travail pour attirer le regard sur les problèmes de société tout en mettant en valeur la passion des belles choses.

Une ascension créative, une expression libre.

Retrouvez tout un pôle loisirs dans votre centre de shopping de plein air !

Shopping Promenade Riviera est plus qu’un centre de shopping, c’est également un lieu de destination qui invite ses visiteurs à la détente et aux loisirs. L’offre variée insuffle de la convivialité et incarne l’ambition de créer un lieu de vie agréable dans lequel les visiteurs pourront passer du temps entre amis, en famille ou encore entre collaborateurs.

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Installé en toiture sur la Promenade des Palmiers, le complexe sportif ULTRA vous propose 2 terrains de Padel et 1 terrain de football live, qui rend vos séances de sport grandioses avec une vue panoramique à couper le souffle entre mer et montagne.

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Entrez dans un univers magique de plus de 5000 m², aux accents méditerranéens et vivez des moments d'exception... Du jeu, du divertissement, des saveurs, des couleurs. Plaisir, Sensation et Émotion prennent désormais tout leur sens...

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Retrouvez un SHOWROOM « CONCEPT STORE » entière dédié à l’ART.

Hervé NYS, NYSCONCEPT SHOP et l’EPICERIE D’ART DE GASPARD se sont réunis pour vous proposer différents univers artistiques. De l’Ecole de Nice à l’Ecole de la Riviera, il n’y a qu’un pas !

Retrouvez des lithographies, catalogues, tableaux, œuvres d’art, produits dérivés artistiques, etc...

Situé en face de la boutique Uniqlo.
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